« Ses toiles sont des miroirs où souvenirs et imaginaire se mêlent sur un fond cloisonné, un découpage coloré de l’espace (…). Il s’adonne à un récit fourmillant où s’amoncellent des détails explicites renvoyant à des vides qui sont absences. Sa matière a des rugosités qui rappellent les façades du bled (…). De l’épaisseur maculée de griffures, de signes surgissent des personnages, des poteries, des oiseaux parfois à peine silhouettés. »
— Lydia Harambourg, Slimane Ould Mohand, dans “La Gazette de l’Hôtel Drouot”, Paris, 12 février 1999.